Michel nous annonce qu’il met un point final à ses Chroniques Bayonnaises, mais rassurez-vous, elles seront suivies de nombreuses autres dernières ! Il profite de l’abondante correspondance de Loulou, le Médecin Général Louis Destribats avec les siens d’Afrique et d’Indochine pour décrire la vie coloniale entre deux guerres, puis pendant et après la guerre 39-45 ; puis on revient sur les origines de la famille, coté Dousdebès cette fois-ci…
L’ensemble des Chroniques Bayonnaises a été largement diffusé dans la famille et tout particulèrement à Bayonne évidement, vous pouvez donc les consulter chez la plupart des cousins Bayonnais et même Biarrots. Ceci est d’ailleurs vrai pour l’ensemble de l’œuvre de Michel que vous pouvez consulter Villa Morin à Biarritz au domicile de Dominique Boutineau…En octobre 1998 Michel tenta de nous faire croire que là s’arrêteraient les Chroniques. Mais personne ne l’a cru et Michel ne mis pas sa menace à exécution. Rapidement, en avril 1999 il nous offrira ses Chroniques Charentaises (cf ci-dessus) d’ailleurs largement Algériennes, du temps où l’Algérie était Française puisqu’elles traitent des deux branches de ses ancêtres Monichon du côté de sa mère, Charentais mais aussi Pieds-Noirs. Largement diffusées à Bordeaux ces Chroniques sont également disponibles à Biarritz chez Dominique Boutineau.
Pratiquement en même temps que les Chroniques Charentaises et la fin de la rédaction des Chroniques Bayonnaises, fin 1998 et courant 1999, Michel mettait en chantier les Chroniques Bordelaises et Bourquaises. Elles ont été rédigées au fur et à mesure de l’ouverture des tiroirs familiaux de sa famille maternelle…
Chroniques Bordelaises
Chroniques Bourquaises
On y traite des Cotes de Bourg et les vignes sont évidement présentes, mais aussi et surtout des origines de la branche maternelle de l’auteur.
Fin 1998 Michel mit, également, en chantier la grande Saga des Chroniques Landaises qui devait être aux Destribats ce que les Chroniques Bayonnaises étaient aux Tajan, un recueil de souvenirs familiaux qui balaient tout le sud des Landes de Saubrigues à Habas. C’est la même démarche que celle ci-dessus appliquée aux tiroirs familiaux de sa famille paternelle…
Chroniques Landaises
Bientôt suivies par les
Nouvelles Chroniques Landaises
On continue à égrener la vie des Destribats à travers les siècles, avec une remarquable précision généalogique, puis sur la correspondance de guerre, la Grande Guerre, entre Habas et le front.
Viennent ensuite les
Nouvelles Chroniques Aquitaines
On y traite, en détail, une fois encore de 4 générations de Tajan, Destribats et Ducos du milieu du XIX° au milieu du XX° siècle. L’accent est mis sur l’aspect militaire de la famille pendant et entre les guerres qui ont égrené le siècle.
